24) Un chapitre qui bouscule l’espace temps !

Numéroter 24 ce chapitre est une tromperie, car dans la réalité cette page a été rédigée bien après le suivant qui est ordonné n°25. S’il est place avant, c’est pour éviter de chambouler la mise en page et continuer à terminer sur les conclusions. C’est en rédigeant le document Prise en main initiale.PDF que je me suis rendu compte d’une grande faiblesse dans P20. En effet, j’ai réalisé un peu tard, que le graticule en mode alternatif n’avait pas de graduations « en largeur » pour pouvoir mesurer les durées. Par exemple sur la Fig.170 A il est impossible d’évaluer la valeur de la période. C’est la raison pour laquelle des graduations verticales ont été ajoutées sur la ligne médiane du graticule comme montré sur la Fig.170 en B. Bien que cette photographie a été saisie alors que l’on n’a pas assuré une coïncidence entre les pics des alternances et le graticule, on peut observer que la période occupe approximativement 4 graduations et présente une valeur de 4 x 5 = 20mS. On en déduit une fréquence de 50Hz.

Autre tromperie qui est passée inaperçue : Oser nommer de filaire la représentation avec des PIXELs telle que celle de la Fig.171 en A ici numérisée en mode alternatif. On peut constater que si l’on rejoint les points par des segments de droite, ce que fait la surcharge en rouge, le visuel est bien plus évocateur. C’est l’idée avantageuse qui a émergé lors de la modification logicielle pour ajouter les graduations verticales. Aussi une autre correction a été apportée au programme P20 qui conduit aux représentations des exemples B et C. Ce tracé en vrai filaire est tellement plus efficace qu’il a remplacé par défaut le mode surface sur RESET, car les courbes sont parfaitement observables sans masquer le graticule. Naturellement ce nouveau mode filaire restera de mise pour des enregistrements en mode « tensions non alternatives » comme sur l’exemple D.
Rien n’est parfait, et ce nouveau procédé de visualisation engendre un petit inconvénient. Si le signal est de type créneaux BINAIREs, les transitions « verticales » se faisant obligatoirement entre deux colonnes de PIXELs voisines, apparait comme sur la Fig.172 en A ou en B un effet d’escalier. Du coup, la représentation en mode surface qui n’est pas affectée par cet inconvénient reste comme sur l’exemple de la Fig.173 une option conseillée sur des signaux de nature BINAIRE.
Que le signal soit de type BINAIRE ou alternatif comme sur la Fig.174 par exemple, dans tous les cas l’opérateur pourra choisir entre les deux modes visuels. En définitive, aucune option de représentation des traces n’a été modifiée. Ce n’est que le mode filaire qui a été amélioré en ne traçant plus des PIXELs, mais en joignant les points figuratifs par des segments de droite.

La Base de temps par défaut qui était de 1.35mS a été portée à 5mS par graduation. Étant en enregistrement d’un signal, il suffisait de cliquer par inadvertance une seule fois sur BAS pour imposer 200mS par graduation. Du coup la capture des 119 échantillons exige 8S. Quand on constate l’erreur, il faut attendre huit secondes avec la touche HAUT ou BAS cliquée pour revenir à des durées de captures plus raisonnables. Si au bout de ces huit secondes le clic est pris en compte mais que l’on ne relâche pas la touche assez rapidement, c’est un clic long qui change le calibre mais pas la BdT. Et c’est reparti pour huit secondes ! Alors avec 5mS de BdT il faut cliquer au moins trois fois sur BAS pour engendrer cette situation. Ce ne sera plus par inadvertance …

La fin est ici.